Une des grandes raisons pour lesquelles on aime fondamentalement le sport, c’est la somme d’émotions qu’il fait vivre.
Partie 1 : L’attente
Et quand on est vraiment mordu, on commence à ressentir un petit quelque chose, un tressaillement, une excitation… alors que l’événement sportif en lui-même n’a pas encore démarré !
Une publication sur les réseaux sociaux, un infime article et les esprits s’emballent. Des questions fleurissent du plus profond des entrailles, reflétant tous les espoirs placés dans les athlètes et les circonstances dans lesquelles ils vont s’illustrer.
Un cliché de Rafael Nadal : Sera-t-il prêt pour un ultime Roland-Garros ?
Le parcours du prochain Tour de France est dévoilé : Revivra-t-on un trépidant duel Pogačar - Vingegaard ?
Une bande-annonce des Jeux Olympiques : Les Français seront-ils au rendez-vous ?
La composition du Stade Toulousain est annoncée : Quelle stratégie pour affronter les Harlequins ?
On brûle déjà d'impatience !
Ce déclenchement réflexe, cet afflux d’activité cognitive, c’est parce qu’on sait bien tout ce qu’on a déjà ressenti devant une compétition sportive. Telle cette odeur qui vous ramène instantanément à cet été-là au bord de la mer, en vraie madeleine de Proust, la mémoire des sens entre en action.
Nul ne peut savoir ce qui arrivera demain, le week-end suivant, l’été prochain sur les théâtres des différentes compétitions sportives du monde entier.
Alors avant de le savoir, enthousiasmons-nous à l’idée d’en être prochainement les témoins et profitons de cette ferveur, de cet amour du sport qui nous fait vibrer avant même le coup d’envoi... en attendant plus fort encore !
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